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Nous profitons du succès de l’augmentation de capital de Voltalia, annoncé en début de mois, pour mettre en avant les bonnes pratiques ESG du Groupe. Ce producteur d’énergie renouvelable, principalement éolienne, a pour ambition de doubler de taille ses capacités installées en 3 ans, pour exploiter 1GW en 2020. Les performances du groupe se sont améliorées depuis plusieurs exercices, tant sur le plan économique qu’en matière ESG, en nette progression. Sur la campagne d’évaluation Gaïa Rating 2018, son score affiche 72/100, soit un gain de 21 points sur les trois derniers exercices.

En matière de gouvernance (71/100), Voltalia fait état de performances élevées et progresse quant au fonctionnement de ses instances de direction. S’agissant de l’éthique des affaires, il a vu le nombre de salariés formés au code de conduite doubler entre 2015 et 2017. Voltalia précise en outre avoir formé une part croissante de son effectif au Brésil, une région identifiée comme risquée en matière de corruption.

Sur le plan social, le Groupe connait une très nette progression (+25 points) et obtient la note de 72/100, grâce à une transparence accrue sur ces sujets. Il s’est amplement engagé sur la gestion des compétences en mettant notamment en place un outil de gestion des attentes des collaborateurs en la matière. De plus, en 2017, parmi les huit thèmes de formation proposés la majorité des heures étaient consacrée aux sujets techniques et aux langues, attestant de sa volonté de mettre la formation des équipes au service de leur montée en compétence. Cette politique volontaire permet à Voltalia de maintenir un nombre moyen d’heures de formation par salarié élevé (plus de 18 heures en 2017) et un taux de formation moyen des effectifs de 59%.

Enfin, sur le volet environnemental, le Groupe progresse la aussi très nettement (72/100, +27 points). Cette progression est particulièrement visible à travers sa gestion de ses consommations énergétiques et de ses émissions de Gaz à Effet de Serre. En 2017, Voltalia a déployé un système de visioconférence et mesure ses émissions de CO2 évitées. Entre 2016 et 2017, le ratio de ses émissions de Scope 1 et 2 par euro de chiffre d’affaires a été pratiquement divisé par deux (0,16 en 2017).